Noostromo l’avait accompli il y a deux semaines, Jahom l’a réalisé aujourd’hui, et j’en avais parlé avec THE COACH avant qu’il ne parte en vacances: « ça serait pas mal de faire un test de VMA en début de saison! » Ma « saison » de course a pied est déjà bien avancée, avec une reprise post-blessures en décembre et janvier, quelques mini-trails en février (Compreignac et l’Ubaye) et l’Ecotrail 18 km de mars. J’aborde à présent des 10 kilomètres sur route en mai (dans le Bois de Boulogne et à Strasbourg) et des trails en juin (l’Oisan et… non, pas le Mont Blanc, mais certainement une course plus proche de la maison, comme le trail de Sully).
La VMA, ou vitesse maximale aérobie, est la vitesse à partir de laquelle une personne consomme le maximum d’oxygène. En deçà de cette limite, c’est l’aérobie et tu utilises l’oxygène comme carburant (c’est moins cher que le super sans plomb). Au-delà, c’est l’anaérobie et tu pédales dans la choucroute (ou plutôt, tes cellules se mettent à utiliser la lacto-fermentation, qui est le mode de fabrication de la choucroute.)